AIR COTE DIVOIRE TO RECEIVE TWO NEW AIRBUS A 320

Air Cote D’ivoire is reinforcing its ambition to become leader of West African market. The Ivory Coast’s flag carrier will receive two new Airbus A320s planes, Airline’s Top management said. The first plane will join the fleet by July and the second is planned for October.

This acquisition will strengthen the airline’s fleet which totalizes today 10 planes. “Enough to strengthen regional network and target international routes” administration said.

The carrier  actually reaches 19 international routes throughout West and Central Africa (Accra, Abuja , Bamako, Brazzaville, Conakry, Cotonou, Dakar, Douala, Freetown, Kinshasa, Lagos, Libreville, Lomé, Monrovia, Niamey, N’djamena, Ouagadougou, Pointe Noire, Yaoundé)  and  5 domestic destinations in Ivory Coast(Bouaké, Korhogo, San-Pedro, Odienné et Man).

Launched in 2012, Air Cote d’Ivoire flies a fleet of 04 Bombardier Dash 8 Q400 and 06 Airbus aircraft including 04 A319 and 02 A320. It operates with 578 agents including 87 pilots.

The firm order of 2 Airbus A320 neo and 2 A320 was signed in April 2016 after Air Côte D’Ivoire had profiled its expansion strategy.

EXPANSION FLOTTE : DEUX NOUVEAUX AIRBUS A320 pour AIR COTE D’IVOIRE

La compagnie nationale de Côte Ivoire ne cache plus ses ambitions de devenir  leader du transport aérien  dans la sous-région Ouest africaine. L’arrivée prochaine  de deux nouveaux  Airbus A320 témoigne à suffisance ce positionnement.

La direction générale  d’Air Cote D’ivoire a annoncé l’entrée en flotte de deux nouveaux avions modernes de type Airbus A320. L’acquisition du premier avion est prévue pour le mois de Juillet tandis que le second est planifié pour le mois d’Octobre de cette année.

Avec ces deux monocouloirs moyen-courrier, Air Cote D’ivoire portera sa flotte à 12 avions.  « Nombres appréciables  » d’après les dirigeants  pour assurer la couverture du  réseau régional  et attaquer les  lignes internationales.

Fondée  en 2012, la compagnie au fil du temps a étendu  ses dessertes. De son hub ’Abidjan, elle relie aujourd’hui  19 villes africaines (Accra, Abuja , Bamako, Brazzaville, Conakry, Cotonou, Dakar, Douala, Freetown, Kinshasa, Lagos, Libreville, Lomé, Monrovia, Niamey, N’djamena, Ouagadougou, Pointe Noire, Yaoundé) et dessert 5 aéroports domestiques (Bouaké, Korhogo, San-Pedro, Odienné et Man).

La flotte actuelle comprend quatre Airbus A319,  deux Airbus A320 et  quatre Bombardier Dash 8 Q400 pour un effectif de 578 personnes dont 87 pilotes.

Pour rappel c’est en avril 2016 que Air Cote d’ivoire avait signé la commande ferme portant sur deux A320neo et deux A320.

AIR ALGERIE− ACCORD ENTRE LES TECHNICIENS GREVISTES ET LA DIRECTION GENERALE DE LA COMPAGNIE

Après la mise sur pied d’une commission ad hoc pour examiner leurs revendications, les techniciens de maintenance d’Air Algérie ont mis fin à leur mouvement d’humeur, orchestré en matinée sans aucun préavis.

Mardi, après plusieurs vols domestiques et internationaux reportés ou annulés en matinée, les techniciens de maintenance (mécaniciens) d’Air Algérie ont mis fin à leur mouvement d’humeur en début d’après midi. 

Selon Ahmed Boutoumi, président du Syndicat national des techniciens de la maintenance d’Air Algérie (SNTMA), initiateur de la grève, « une commission ad hoc, constituée de la SNTMA et de responsables d’Air Algérie, va être installée pour étudier toutes les propositions relatives aux revendications des techniciens de la maintenance ». Ce qui a permis de mettre fin à la grève, et la reprise effective du trafic aérien dans l’après midi.

 Ayant pris acte des revendications des syndicalistes, le directeur général par intérim d’Air Algérie, Bakhouche Alleche, a demandé à ces derniers un délai d’un an pour prendre une décision à propos de leurs doléances.  Car dit t−il, la situation financière actuelle de la compagnie ne permet pas d’y répondre immédiatement. « La proposition de monsieur Alleche sera portée à la connaissance des travailleurs de la maintenance, et nous étudierons la suite à donner au mouvement de protestation », a conclu monsieur Boutoumi, leader du SNTMA.

Il faut rappeler qu’à l’origine de ce mouvement d’humeur observé sans préavis, les travailleurs réclament le classement du personnel technique selon la nouvelle convention collective. Elle qui place les techniciens de maintenance en deuxième position dans la catégorisation ; après les pilotes, et avant les hôtesses de l’air et les stewards. Or, au jour d’aujourd’hui, c’est l’ancienne convention qui les met en troisième position derrière les pilotes, les hôtesses de l’air et les stewards, qui est en vigueur.

Algerian FATEH BEKHTI, NEW IFATCA EXECUTIVE VICE PRESIDENT

 FATEH BEKHTI, Algerian air traffic controller has been roped in as the new executive vice president of IFACTA. The announcement was made at the 3rd day of IFATCA annual meeting in Toronto, Canada on Wednesday, May 17.

Mr FATEH is replacing KEZIAH OGUTU from Kenya. For the next two years, he will be in charge of vitalizing activities of IFATCA in Africa and Middle East.

In recent years , FATEH BEKHTI has dedicated his time to promote and uphold a high standard of knowledge and professional efficiency among air traffic controllers.

The new EVP brings with him 15 years of experience, which includes full work as member of  IFATCA's Technical and Operational Committee (TOC) and IFATCA regional representative on Safety of airports and runways.

When ask about Fateh’s qualities that led to the appointment , his colleagues reference his dynamism, competence and multi-tasking skills.

FATEH BEKHTI works as Approach Radar controller at Alger Houari Boumediene International Airport. He speaks fluently English, French and Arab.

Created in 1961, IFATCA is a worldwide organisation representing more than fifty thousand air traffic controllers in 126 countries.

CONFERENCE ANNUELLE DE l’IFATCA : L’algérien FATEH BEKHTI prend la tête de la vice-présidence de l'organisation.

Il a été élu dans la  matinée du mercredi 17 Mai, 3ieme jour de la  conférence IFATCA qui se tient depuis lundi à  l’hôtel Chelsea de Toronto au Canada.

Plébiscité au détriment de la candidature de l’Ouganda, il remplace à ce poste la kenyane KESIAH OGUTU arrivée au terme de son mandat.

Pendant 02 ans, il aura la charge de  cordonner et de dynamiser  les  activités de l’IFATCA dans la zone  Afrique et Moyen Orient qui comprend  43 associations de contrôleurs aériens.

Pétri de ses 15 années expérience, FATEH BEKHTI maitrise bien l’environnement régional et international du contrôle aérien. Il est membre du comité technique et des Opérations de l’IFATCA et représentant régional de l’IFACTA sur la sécurité des aéroports et des pistes.

Contrôleur Radariste Approche à l’aéroport international Houari Boumediene d’Alger, ses collègues lui collent l’étiquette de collaborateur multitâche, compétent et dynamique dans son travail.

FATEH BEKHTI  parle couramment l’Anglais, le Français et l’Arabe.

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Créee en 1961, l’International Federation of Air Traffic Controllers Associations (IFATCA) est une organisation internationale qui regroupe 126 associations soit environ 50 000 contrôleurs aériens à travers le monde. Elle a pour objectifs de promouvoir la sécurité, l'efficacité et la régularité de la navigation aérienne internationale ;  promouvoir et maintenir un haut niveau de connaissances et d'efficacité professionnelle au sein des contrôleurs; parrainer et appuyer l'adoption de lois et de règlements qui renforceront  la sécurité de la navigation aérienne.

Conférence annuelle de l’IFATCA : PARTICIPATION TIMIDE DE L’AFRIQUE

L'hôtel Chelsea de Toronto au Canada abrite depuis ce lundi 15 mai, la 56ieme conférence annuelle de l’IFATCA, la fédération internationale des associations des contrôleurs aériens.

Alors que s’ouvre les travaux autour du thème « Taking Care of Business Together » en présence de  près de 400 participants venus du monde entier,  on constate une sous-représentativité  des associations de contrôleurs aériens du continent africain.

 Des 39 corporations africaines membres de l’IFATCA, seules 11 répondent à  l’appel. Il s’agir de  l’Afrique du Sud, l’Algérie,  l’Angola, le Cameroun, le Ghana, le Kenya, le Nigeria, l’Ouganda, le Sénégal,  la Somalie et  la Zambie.

 Interrogé sur les motifs de cette  participation timide, un membre du bureau de l’APCCA, l’Association Professionnelle des Contrôleurs Aériens du Congo  explique «  Nos associations fonctionnent  sur la base des cotisations des adhérents. Peu sont celles qui bénéficient des  subventions extérieures. Les déplacements  à l’international étant couteux,  la plupart préfère se focaliser sur les conférences régionales qui se déroulent sur le continent»   

Il déplore par ailleurs le  fonctionnement des associations   où il note «  un  désintérêt pour la chose associative ».

Pour un ancien président de l’AMCA, Association Marocaine des Contrôleurs Aériens « C’est davantage  la gestion, la planification  et des querelles internes au sein des associations qu’il faut questionner ici».

Crée en 1961, l’International Federation of Air Traffic Controllers Associations (IFATCA) est une organisation internationale qui regroupe 126 associations soit environ 50 000 contrôleurs aériens à travers le monde. Elle a pour objectifs de promouvoir la sécurité, l'efficacité et la régularité de la navigation aérienne internationale ;  promouvoir et maintenir un haut niveau de connaissances et d'efficacité professionnelle au sein des contrôleurs aériens ; parrainer et appuyer l'adoption de lois et de règlements qui renforceront  la sécurité de la navigation aérienne ;  Coopérer étroitement avec les autorités aéronautiques internationales et nationales et les institutions concernées par la navigation aérienne.

La BAD et Air Côte d'Ivoire envisagent la création d'une école d'aéronautique régionale à l'Institut national polytechnique Houphouët-Boigny de Yamoussoukro

C’est en substance ce qui ressort de la visite de l’institut, le vendredi 12 mai 2017,  de AIDA N’GOM, chargée d’investissement à la BAD (Banque africaine de développement), et de NATACHA KADIO, directrice des ressources humaines d’Air Côte d’Ivoire.

Lors d’un échange avec  Koffi N’Guessan, directeur général de l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny, les deux femmes ont reconnu les opportunités qu’offrent la ville de Yamoussoukro en général et l’INP-HB en particulier, pour la création d’une école africaine d’aviation. Car disposant (l’INP-HB ndlr) de locaux, d’infrastructures, de ressources humaines qualifiées,  d’un aérodrome avec un espace aérien quasi inoccupé à Yamoussoukro; et de partenaires  internationaux tels que Airbus industrie, ANAC, Air Côte D’Ivoire et Airways collège. A ceci s’ajoute, selon Koffi N’Guessan, le fait que son institut dispense plusieurs cours qui rentrent dans la formation des métiers de maintenance dans le domaine de l’aéronautique. Pour lui, il faut tout simplement basculer, mais dans la sécurité des normes.

Yamoussoukro doit pouvoir être un pôle très structuré en aéronautique avec la création des autres corps de métier liés au domaine de l’aviation, mais on aura besoin d’appui parce que la formation en aéronautique coûte chère, a-t-il indiqué à ses hôtes. Il va plus loin en affirmant que son ambition est de créer une école bilingue (Français-Anglais), afin d’offrir à toute l’Afrique des formations d’ingénieurs, pilotes mécaniciens, électroniciens et agents de maintenance en tout autre métier lié à l’aviation. Avant de conclure : cette école viendra combler le déficit de formation dans le domaine, dans la sous-région, et donnera des opportunités d’emplois. Une vision qu’épouse la Banque africaine de développement à travers sa chargée d’investissement Aida N’Gom.

Il faut rappeler qu’en janvier 2017,  un  accord cadre de partenariat  avait déjà été signée entre l’école de formation de pilotes de ligne française Airways Collège et l’INP-HB. Lequel accord offrait la  possibilité aux pilotes africains qui le désirent de se former en cote d’ivoire